DOLORES EN LA MAJEUR

DOLORES EN LA MAJEUR

Dolores - artiste de cabaret, femme fragile et touchante - nous plonge dans la nostalgie des Années Folles entre Madrid et La Havane.

Mise en scène : Gabriel Alvarez - Conception et écriture : Silvia Barreiros - Direction musicale : Ondina Duany - Collaboration artistique : Robert Nortik

Ici Dolores Rondón - Termine sa carrière
Viens, mortel, considére - Les grandeurs telles qu'elles sont.
L'orgueil et présomption - La grandeur et le pouvoir,
tout se fane,- Et seul s'immortalise
Le mal qu'on économise. - Et le bien qu'on peut faire.

Inspirée de ce poème et nourrie d'images des films tels que "La Bella del Alhmbra" (Cuba), "Ay Carmela" (España) et des prestations de Sara Montiel dans "La Belle del Chanteelere" etc… peu à peu se profilait ma Dolores Rondón inventée de toutes pièces et sur mesure au service d'une histoire qui s'est elle-même façonnée au cours de plusieurs écritures.

Tous ces films nous contant entre 1920 et 1940 réaffirmaient ma fascination pour ces "Années folles", époque révolutionnaire pour la femme. D'un point de vue purement artistique et esthétique, les costumes, les chorégraphies et les ambiances de l'époque - touchantes aujourd'hui de naïveté - me touchaient et nourrissaient mon imaginaire.

Cette création se situant à la frontière entre le cabaret et le théâtre a pour fil conducteur Dolores Rondón, née de tous les clichés sur le cabaret qui restent encore gravés dans nos mémoires. Cette pièce est en quelque sorte un clin d'oeil à cette forme d'expression artistique et à cette époque-la !

La musique est essentielle et amène le personnage de Dolores à son vécu. Il était primordial qu'entre la musicienne cubaine et la comédienne - espagnole née en Suisse - que je suis, chacune de nous retrouve ses origines. C'est pourquoi le choix du répertoire s'est porté sur des chansons cubaines: "Fantasma gris" (Guaguanco - danse-afro-cubaine), "Ay Mama Inez", "El Manicero", "El Pescado" et espagnoles: "Los Nardos", "Nostalgia" et "Fumar es un placer". Toutes ses musiques sont évidemment et ont été adaptées pour piano, contrebasse et percussions.

La danse, troisième ingrédient de cette recette et non moins négligeable, m'a amenée à me familiarises avec ces particularités. Dans un premier temps, l'été dernier en Suisse avec un danseur cubain, j'ai appris les rudiments des danses traditionnelles cubaines. Et cette année, à Cuba, j'ai travaillé avec une danseuse de cabaret de La Havane, Olga Espinosa, qui a créé les chorégraphies sur temps concentré et intensif.

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Sur le spectacle

Durée: 1 heure

Ce soir, la grande vedette Conchita Supervia a une extinction de voix et Lola (Dolorès) est mise devant le fait accompli par le directeur Agustin: Elle doit assurer le spectacle.
Au fil des chansons, elle va évoquer ses débuts au Cabaret La Latina à Madrid, puis à l'Alcazar jusqu'à son triomphe à l'Alhambra de la Havane.
Sa vie professionnelle étant liée aux hommes, elle va nous raconter ses joies et ses déboires amoureux qui ont ponctué sa carrière.

Ce spectacle nous parle d'amour, du dilemne de la femme artiste: se consacrer à sa carrière ou renoncer à fonder une famille. Dans ce cas Dolorès renonce à tout pour suivre ce que lui dicte son coeur: suivre Pedro, l'amour de sa vie. Pour lui, elle quittera tout, vendra tous ses biens pour réaliser avec lui son rêve de toujours: conquérir La Havane et toute l'Amérique latine.

Son rêve devient cauchemar en attendant son amoureux à la gare de Chamartin de Madrid. Pedro, non seulement ne viendra pas au rendez-vous, mais il la dépouillera de tous ses biens. Cette trahison amoureuse marque la fin de sa carrière et la pousse à boire pour oublier cette douleur.

Agustin la recueille alors et lui offre du travail dans son cabaret itinérant. Cette soirée, c'est sa grande chance pour enfin réaliser ce rêve d'antan: conquérir La Havane et revivre son grand amour avec Pedro.

Mais quel a vraiment été son parcours artistique et sentimental? Ce qui est certain, c'est qu'elle nous transmet tout au long du spectacle sa réalité, nous emmenant dans les coulisses d'un cabaret-théâtre de l'époque 1920 à 1940.

Presse

Journal du Jura mardi 11.11.2003.

le Courrier 2005, As dores de Dolores

Tribune de Genève, Mai 2002, Lola chauffe le Galpon

Tribune de Genève, 29 avril 2013

Tribune de Genève, Geneva, Switzerland, Thursday May 30th 2002.

Benjamin Chaix Tribune de Genève, Geneva, Switzerland, Wednesday May 29th 2002

Le Courrier, Geneva, Switzerland, Tuesday May 15th 2002

Swissinfo-Culture, Geneva, May 2002

El Perro Chongo, official newspaper of the International Theatre Festival of The Havana, La havana,

Juventud Rebelde, La Havana, Cuba, September 28th 2003

Granma, La Havana, Cuba, September 30th 2003

Journal du Commerce Porto Alegre - Bresil 25 août 2005

El Faro.net (San Salvador, El Salvador), 17-23 December 2007

360, juin 2002, Coloré, exotique et roboratif

Dimanche.ch, Mai 2002 Le revue folle.

El Perro Huvero Festival de Théâtre La Havane

Distribution
  • Mise en scène : Gabriel Alvarez
  • Conception et écriture : Silvia Barreiros
  • Direction musicale : Ondina Duany
  • Collaboration artistique : Robert Nortik
  • Avec Silvia Barreiros (Dolores)
  • Nilton Filho (Le directeur)
  • Antonio Buil (jeu)
  • Chorégraphies: Olga Espinosa
  • Régie Lumières et son: Frédérique Jarabo-Oberson
  • Costumes: Maria Galvez
    Peintures: Omar Corrales Mora
  • Conception maquillages: Arnaud Buchs
Téléchargement
Lumières
  • 4 Découpes 1 KW
  • 8 Pars
  • 1 Porsuite + pied
  • 1 4PC 650 W
  • 2 Horiziodes 500 w
  • 4-8 Horiziodes 1 KW (en fonction de la salle)

Son - Avec les musiciens en direct

  • 1 microphone
  • 1 Piano acoustique
  • 2 Amplis + 4 enceintes (façades et retour)
  • 1 Table de mixage minimum 12 pistes
  • 1 Equalizer
  • 1 Réverb

Cáblage
Son - Avec musique enregistrée

  • 1 (lecteur CD) ambiance après le spectacle

Audio
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Tournée à  Cuba

Tournée au Brésil

Création Dolores en Suisse

Tournée au Salvador

Photo
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DOLORES EN LA MAJEUR DOLORES EN LA MAJEUR 2017-02-12 00:00:00 https://apsaras.ch/images/article/No-Photo-article.jpg